Stéphane Patingre a récemment partagé des nouvelles sur sa vie. Ce, après avoir remporté une cagnotte impressionnante de 568 343 euros en gains et cadeaux. Dans une interview avec le Journal de la Haute Marne, il a parlé de son aventure télévisée. Ensuite, il a expliqué que sa vie n’avait pas beaucoup changé malgré ses gains considérables. Stéphane est resté humble et a mentionné que c’est surtout le regard des autres qui a évolué.
Les 12 coups de midi : une aventure inattendue pour Stéphane
Stéphane a avoué qu’il ne s’attendait pas à vivre une telle aventure. Encore moins remporter autant d’argent en participant aux 12 coups de midi. Initialement, il voulait simplement tester ses connaissances dans ce jeu télévisé qu’il considérait comme le meilleur.
Cependant, il n’aurait jamais imaginé aller aussi loin. Stéphane avait des débuts modestes avec un intérêt pour les boules de pétanque offertes aux candidats. Or, il a finalement gravi des sommets en termes de gains, s’arrêtant au « Mont Blanc » de l’émission.
Stéphane Patingre : gérer le succès financier
Stéphane a admis que gérer une soudaine réussite financière pouvait être difficile. En effet, passer d’une situation où l’on n’a presque rien à celle où l’on possède beaucoup peut être déconcertant. Toutefois, il a réussi à garder la tête sur les épaules et à ne pas dilapider son argent.
Il s’est fait plaisir et a gâté ses enfants, leur offrant des choses qu’il ne pouvait pas se permettre auparavant. Malgré ses gains, Stéphane n’a pas arrêté de travailler. De plus, il a souligné l’importance de rester actif plutôt que de rester à la maison sans rien faire.
Projets à venir et passion pour les jeux télévisés
Stéphane a partagé ses projets futurs avec transparence. En effet, il prévoit de participer aux masters des 12 coups de midi et à un jeu sur France 2. Il est toujours motivé par la compétition.
D’ailleurs, Stéphane a admis que participer à ces émissions est une véritable passion pour lui. Lorsqu’on lui a demandé si c’était une « drogue », il a répondu avec enthousiasme que c’était « du crack ». Avant d’ajouter qu’une fois qu’on y a goûté, on ne peut plus s’en passer.