Dimanche dernier, l’animateur bien-aimé Michel Drucker a effectué son retour tant attendu à la télévision. Ce qui a ravi ses fans qui l’attendent dans Vivement Dimanche. Cependant, au milieu de cette joie, une triste nouvelle a été partagée.
Michel Drucker : Un combat contre la maladie
Au fil des dernières années, Michel Drucker a été en proie à des problèmes de santé. Après avoir subi un triple pontage cardiaque, il a affronté de nouvelles complications en février dernier. Cela a nécessité une autre opération à cœur ouvert. Malgré ces épreuves, sa détermination à reprendre les rênes de Vivement Dimanche demeure inébranlable.
Une retraite inéluctable
Lors d’une interview accordée à Var-Matin le 13 août, Michel Drucker s’est ouvert sur ses pensées concernant son avenir professionnel. Il a exprimé sa résolution à ne pas mener « le combat de trop ». De plus, l’animateur a admis que le moment de prendre sa retraite se rapproche. Cette prise de conscience l’a conduit à reconnaître la nécessité de se reposer après une longue et fructueuse carrière. Bien que cela soit déchirant.
Bien que ses jours en tant qu’animateur de Vivement Dimanche soient comptés, Michel Drucker envisage un futur actif. Effectivement, il a déclaré qu’il restera impliqué dans la production pour maintenir un lien avec son métier et éviter l’ennui. En réalité, l’animateur a observé les conséquences néfastes que le retrait professionnel a eues sur certains de ses collègues. Ce qui souligne l’importance de maintenir un engagement actif.
« J’avais 20 % de chance de m’en sortir »
Par ailleurs, Michel Drucker a partagé qu’il est conscient que des individus aspirent à lui succéder dans Vivement Dimanche. Cependant, il a clairement indiqué que tant que France Télévisions aura besoin de lui et qu’il se sentira apte, il continuera à assumer ses responsabilités.
« Il va me falloir beaucoup de courage pour débrancher. Je continuerai dans la production pour garder contact avec le métier. J’ai besoin de savoir que je ne vais pas m’ennuyer. Il y a tant de copains qui sont tombés en ruine après avoir arrêté leur carrière. Quand j’étais au plus mal, certains se sont précipités pour prendre ma case. Je dis ça à ceux qui se demandent quand je céderai la place. Ils vont devoir attendre un peu », a-t-il indiqué.
Avant d’ajouter : « Les médecins considéraient que j’avais à peu près 20 % de chance de m’en sortir. Je pense que mon pronostic vital a été engagé. On ne me l’a pas dit, mais je l’ai deviné. Mon frère Jacques, qui est médecin, m’a dit plus tard que je n’étais pas passé loin. Tant que mes patrons à France Télévisions auront besoin de moi et que je m’en sentirai capable, je serai là. Pour moi, la vieillesse n’est pas un naufrage. 80 ans aujourd’hui, ce n’est pas vieux ! Et puis, après ce que j’ai vécu, c’est du bonus ! ».
