Magali Berdah vient de poster une vidéo d’elle en train de pleurer sur Instagram. En effet, le conflit qui l’oppose à Booba continue et la patronne de Shauna Events semble à bout.
Magali Berdah : « Je suis sous traitement »
Magali Berdah ne supporte plus d’être harcelée à travers les réseaux. Alors, après son absence, elle a tenu à expliquer qu’elle est tombée en dépression. Cependant, déterminée à se battre, elle a fait part de son traitement actuel : « Je suis aidée par un psychologue. Je l’ai au téléphone à peu près deux fois par semaine et fut un temps, je l’avais à peu près tous les jours. Tous les soirs, je devais faire une séance avant de dormir pour pouvoir dormir. Cela m’a sauvée de vouloir partir… Personne ne peut sortir indemne d’un cyber-harcèlement en meute comme je l’ai subi. Pour aller mieux, je suis sous traitement. Je prends des cachets. Un traitement un peu moins lourd en ce moment… ».
Magali Berdah a su éviter le pire !
L’agent de stars a failli commettre un geste irréversible. « La journée où j’ai pensé au pire, c’était dans mon bureau un jour, c’était vers le mois d’août, je n’étais pas bien. Je suis partie me réfugier dans un hôtel pendant une semaine (…). J’ai dû m’enfermer dans une chambre d’hôtel, avec mes enfants, pour ne pas me foutre en l’air. Je savais que si j’étais enfermée dans une chambre d’hôtel avec mes filles, je ne ferais pas ça devant elles », a-t-elle indiqué. Toutefois, toujours déterminée à traduire ses agresseurs en justice, elle a pu arrêter huit personnes. D’ici à leur jugement, Magali Berdah lutte contre le harcèlement sur les réseaux sociaux que les gens ont tendance à négliger.
« Il fallait y penser avant d’arnaquer tous ces gens »
Tout en pleurant, Magali Berdah a lancé : « Ça fait huit mois que ça dur, il faut l’arrêter ». Évidemment, il s’agit de Booba. L’influenceuse semble complètement à bout. Hélas, les internautes ne sont pas tous affectueux envers elle. En effet, parmi les commentaires, on peut lire : « Mais qui pleure devant son téléphone comme ça sérieux ? Et avec un filtre, bien sûr », « Ça ne me fait aucune peine quand je vois le nombre de personnes qu’elle a volé », « Elles sont où ses larmes, il fallait y penser avant d’arnaquer tous ces gens ».
