À l’heure actuelle, la crise frappe les magasins de prêt-à-porter à plein fouet et les oblige à mettre un terme à leur existence. Selon les sources, ce secteur fait face à une situation critique qui atteint même les enseignes les plus côtoyées. Les pertes s’enchaînent et les magasins doivent rapidement agir.
Malheureusement, il faut prendre une décision ferme qui est de fermer le magasin pour économiser. Ce secteur n’est pas le seul qui souffre de la crise. En effet, la crise attaque tous les acteurs de la consommation.
Une crise qui n’épargne aucune enseigne
Camaïeu et André ont été les premiers sur la liste à avoir soufferts de la crise économique. Ces enseignes ont dû fermer leurs portes et ces 77 magasins vont suivre la même voie. Ils ne seront pas épargnés de cette période critique.
Si pour certains magasins, la meilleure solution est de cesser l’activité, d’autres espèrent toujours remonter la pente en diminuant les effectifs afin de réduire autant que possible les charges. Certaines enseignes choisissent d’entamer des procédures de redressement judiciaire.
77 magasins français de cette marque de renommée vont fermer leurs portes
Cette enseigne populaire est IKKS. Spécialisée dans la vente de prêt-à-porter pour les hommes, les femmes et les enfants, elle doit subir les conséquences de la crise économique.
Pourtant, cette marque qui existe depuis 1987 doit adopter un Plan de Sauvegarde de l’emploi (PSE).
Concrètement, il s’agit de diminuer les effectifs, mais aussi de fermer les magasins. Résultat, 77 enseignes vont devoir fermer leurs portes. Par conséquent, ce sera 200 salariés en moins sur les 1 700 employés et collaborateurs de l’entreprise à travers le monde.
Néanmoins, l’enseigne ne va pas lâcher les salariés et promet de prendre des mesures nécessaires pour les aider. En effet, IKKS offre des possibilités de reclassement dans d’autres postes ou encore entreprises.
Comment se traduit la crise financière ?
Elle se traduit par des difficultés à prendre en charge le prix des loyers qui est assez élevé dans les grandes villes. On peut citer également la hausse des dépenses fixes comme le prix des ressources énergétiques.
À cela s’ajoutent les difficultés financières des consommateurs qui doivent se priver de certains achats en magasins pour économiser de l’argent. Actuellement, les clients se ruent vers l’achat en ligne et auprès des marques pas chères.