Fanny Cottençon, actrice célèbre dans « Scènes de ménages« , revient sur le jour où son fils a disparu. Cette expérience reste à jamais gravée dans sa mémoire. Découvrez les détails émouvants de cette étape marquante de sa vie.
La carrière de Fanny Cottençon, une passion précoce pour le cinéma
Depuis son jeune âge, Fanny Cottençon est passionnée par le cinéma. Elle a suivi une formation au Conservatoire d’art dramatique et à l’École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre. (ENSATT) En 1977, elle décroche son premier rôle au cinéma dans « La nuit de Saint-Germain-des-Prés » de Bob Swain. Depuis lors, sa carrière a pris son envol avec des films tels que « Signé Furax » et « Le roi des cons ». Elle a vu le jour le 11 mai 1957 à Port-Gentil, au Gabon.
Une carrière réussie pour l’actrice dans « Scènes de ménages »
Après une première apparition en tant qu’invitée dans la série « Scènes de ménages« , Fanny Cottençon a intégré l’équipe régulière. Elle incarne Christine, la femme de Gilbert (Didier Bénureau), un ouvrier retraité. Sa présence dans la série est saluée comme une réussite par la chaîne M6. Une réussite qui a déjà duré 10 ans.
Le départ de son fils, un moment difficile
Dans le cadre de sa vie privée, l’actrice était en couple avec Roger Coggio, comédien et acteur. Malheureusement, ce dernier est mort du cancer en 2001. Ses œuvres les plus connues sont « Journal d’un fou », de Nicolas Gogol qu’il a réalisé en 1987. On lui doit également « Chronique d’un couple » en 1971 ou encore « On peut le dire sans se fâcher » en 1977. Par ailleurs, il a laissé derrière lui son épouse et leurs deux enfants, Maxime et Jessica Coggio. À 33 ans, Maxime, le comédien a choisi de quitter la maison familiale à la poursuite de ses rêves. Un événement particulièrement traumatisant pour l’actrice.
D’ailleurs, dans une interview avec Gala, elle se rappelle : « Je lui ai laissé le choix, habiter dans un studio ou rester. Quand il a dit vouloir partir, je me suis entendue prononcer avec une toute petite voix qui m’a surprise moi-même : ‘Alors, tu vas me quitter ?’ On s’est regardés. Et, on a pleuré. » Ainsi, le vide qu’il a laissé à la maison hante encore les pensées de sa mère. Et, ce, malgré leurs rencontres régulières.