Dernièrement, il y a eu une réunion d’une commission pour parler des changements du calendrier des vacances scolaires et des zones.
Beaucoup de parents d’élèves ont donné le feu vert pour la modification du calendrier et des zones scolaires. Mais le nouveau Premier ministre n’est pas vraiment favorable à ce projet.
En effet, il y a eu une réunion d’une commission dédiée au calendrier scolaire et aux vacances. Elle se compose de syndicats d’enseignants, d’associations de parents d’élèves et d’élus pour discuter quelques changements sur le calendrier.
L’objectif est d’avoir sept semaines consécutives pour les enfants avant de passer deux semaines de vacances. Et pour parvenir à cela, de lourds changements sont en vue.
Ils ont précisé que : « Il y a un certain consensus, au sein de la commission, pour passer à deux zones, on espère aller vers une position commune ». Gabriel Attal va-t-il accepter cette proposition ?
Le changement du calendrier n’est pas prioritaire pour Gabriel Attal
Le Premier ministre a fait des confessions dans l’émission La Maison des maternelles sur France 2. Il a déclaré que : « Ça ne fait pas partie de mes plans immédiats de revoir le calendrier des vacances scolaires, de fusionner des zones ».
Cependant, il est ouvert à toute proposition. « Je regarderai évidemment le rapport qui m’est remis et la proposition qui m’est faite. »
Le Premier ministre se soucie plutôt du niveau scolaire des enfants : « Ma priorité aujourd’hui, quand on parle des vacances, c’est comment faire en sorte que des élèves en difficulté qui ont beaucoup de retard sur le français et les mathématiques puissent faire des stages de réussite, peut-être faire leur rentrée plus tôt que les autres. »
Vers des vacances d’été plus courtes ?
La commission spéciale qui s’est réunie pense que changer le calendrier scolaire n’est pas tout à fait impossible. Le porte-parole de la fédération de parents d’élèves PEEP a affirmé que : « Passer de trois à deux zones ne relèverait pas du big bang. La situation actuelle n’est pas idéale, il ne faut pas rester dans l’immobilisme. »
Qu’en est-il des vacances d’été ? « Le pays n’est pas mûr », indique Valérie Marty, présidente de la PEEP, deuxième association de parents d’élèves en France. Mais elle reste « favorable » à cette idée.
Elle a déclaré que : « Nous pensons nécessaire que l’enfant dispose d’un peu plus de jours et qu’il ait moins de pression ».
