En mars, un conducteur de voiture de 27 ans a été appréhendé en excès de vitesse sur l’autoroute A20. Cependant, ce qui a suivi a été encore plus surprenant. Il était au volant d’un véhicule qu’il pensait avoir acheté légalement à un particulier via un groupe WhatsApp. Or, une erreur dans le certificat de cession a conduit à des vérifications. Celles-ci ont révélé que la voiture était en fait volée. Le procès de cette affaire inhabituelle s’est tenu le 9 octobre au tribunal de Châteauroux.
L’achat de la voiture
Le conducteur, âgé de 27 ans, avait récemment acquis une voiture Audi via une transaction avec un particulier. Ils l’ont faite par le biais d’un groupe WhatsApp. D’abord, il croyait que tout était en ordre, pensant que le certificat de cession était correct. Pourtant, cette supposition s’est avérée être le point de départ d’une série d’événements inattendus.
La découverte de la supercherie
Les ennuis ont commencé lorsque le conducteur a décidé de modifier le certificat de cession. Cela, afin d’enregistrer la voiture en son nom. C’est à ce moment-là qu’il y a eu des vérifications. Ainsi, cela a révélé qu’il s’agissait d’un vol de voiture. Sauf que le véritable propriétaire de l’Audi ne s’était jamais manifesté pour récupérer son bien.
Insolite : Le verdict du tribunal
Toutefois, le tribunal de Châteauroux a statué sur l’affaire de manière inattendue. En effet, le conducteur de 27 ans a été poursuivi pour recel de vol et pour faux. Cependant, le tribunal l’a relaxé en ce qui concerne le recel de vol, lui permettant même de récupérer la voiture. En revanche, les autorités l’ont condamné à une amende de 200 euros pour l’excès de vitesse. Il a également écopé une amende de 500 euros pour le faux. De plus, on a suspendu son permis de conduire pendant 15 jours.
Cette affaire insolite illustre l’importance de vérifier soigneusement les documents lors de l’achat d’un véhicule d’occasion. Effectivement, le conducteur, bien qu’innocent de recel de vol, a dû faire face à des conséquences pour d’autres infractions. D’ailleurs, sa mésaventure rappelle à chacun la nécessité de respecter les lois et règlements. En particulier lorsqu’il s’agit de transactions automobiles, même si les intentions initiales semblaient être de bonne foi.
