Les propriétaires immobiliers bénéficient d’un délai supplémentaire pour la déclaration des biens immobiliers. Ce, en raison de problèmes techniques sur la plateforme impots.gouv.fr. Cette déclaration est d’une grande importance pour les propriétaires, car elle détermine la taxe due sur les biens. Cependant, il est essentiel de prévoir et de s’informer pour éviter de nouvelles complications.
Déclaration des biens immobiliers : des complications techniques repoussent la date limite
La déclaration des biens immobiliers, qui était initialement prévue pour le 1ᵉʳ août, a été repoussée au 10 août. En cause, il y avait des problèmes techniques sur la plateforme impots.gouv.fr. Effectivement, la congestion exceptionnelle due à un afflux massif de déclarations a causé des tracas aux contribuables. En conséquence, cela a conduit à ce nouveau report. L’administration fiscale a ainsi réagi en offrant un délai supplémentaire pour permettre aux propriétaires de remplir leurs obligations.
Pour rappel, la déclaration des biens immobiliers est essentielle pour les propriétaires. En effet, elle remplace la taxe d’habitation sur la résidence principale en 2023. Ainsi, chaque propriétaire doit indiquer l’usage de chaque bien, qu’il s’agisse d’une résidence principale, secondaire ou louée. Par ailleurs, cette déclaration fixe le montant de la taxe à payer. La nouvelle date limite est fixée au 10 août, offrant ainsi un délai aux retardataires pour s’y conformer.
Conseils pour une déclaration réussie
Pour éviter de futurs problèmes de congestion, les propriétaires devront anticiper leur déclaration. Voici quelques conseils pratiques :
- Rassemblez les informations nécessaires sur vos biens : adresse, superficie, date d’acquisition.
- Vérifiez si vous avez un compte sur la plateforme impots.gouv.fr et créez-en un si nécessaire.
- Explorez les éventuelles exonérations ou abattements en fonction de votre situation personnelle et de vos biens.
- Ne tardez pas à faire votre déclaration pour éviter les risques de saturation de la plateforme.
Un sursis providentiel, mais restez vigilant
La stratégie d’investissement doit s’adapter à l’âge du propriétaire. À 30 ans, privilégiez l’assurance-vie ou le plan d’épargne en actions. À 40 ans, commencez à anticiper la retraite avec un plan épargne retraite. Enfin, à 50 ans, on peut envisager l’investissement locatif si les finances le permettent.