De plus en plus de parents envisagent de voyager dans le luxe des classes supérieures. Ce, tout en laissant leurs enfants en classe économique. Cette tendance suscite des discussions et une mère de famille a partagé son expérience de voyage en classe Affaires. Alors que sa fille voyageait en classe éco.
Voyager, une décision audacieuse
Andrea Dixon a récemment partagé son expérience inhabituelle de voyage. Lorsqu’elle voyage avec sa fille de 16 ans, elles choisissent sciemment de s’asseoir dans des sections différentes de l’avion. Tandis que sa fille occupe un siège en classe économique, Andrea opte pour la cabine luxueuse de la classe Affaires. Cela, malgré les regards désapprobateurs.
Bonnes intentions et avantages partagés
Bien que les passagers expriment leur désapprobation, Andrea reste convaincue de son choix. Avant le décollage, elle communique au personnel de bord la situation particulière, veillant au bien-être de sa fille en classe éco. Elle profite des avantages de sa propre cabine pour offrir des commodités à sa fille. Par exemple, une priorité à l’enregistrement et un accès à des produits gratuits.
Un voyage partagé de manière différente
Lors de vols récents, Andrea a expérimenté comment sa décision peut être bénéfique pour sa fille. En vérité, les avantages de la classe Affaires s’étendent à sa fille en classe éco. Ce, avec l’accès à des produits gratuits, à de la nourriture de qualité et à un transport de bagages sans frais supplémentaires. Par ailleurs, Andrea fait également de brèves visites à sa fille pendant le vol. Cependant, elles n’ont généralement pas de contact entre le décollage et l’atterrissage.
« Il n’y avait pas de file d’attente au comptoir de la classe Affaires et le personnel s’est empressé de nous enregistrer ensemble, même si le laissez-passer de ma fille était réservé à la classe économique. Une fois, j’ai enregistré ses bagages. Je n’avais qu’un seul petit bagage et elle en avait deux gros. Les trois bagages portaient la mention “priorité première classe” et elle n’a pas eu à payer de supplément pour l’enregistrement de ses bagages. Lors d’un vol de 13 heures, j’ai reçu un petit-déjeuner composé de flocons d’avoines, de tranches de fruit du dragon et d’une omelette à la ciboulette. Parfois, je la trouve simplement en train de dormir. Autrement, nous n’avons aucun contact entre le décollage et le débarquement », a partagé Andrea Dixon.
