Les événements ont eu lieu à Lyon. Des fouteurs de troubles squattent illégalement un appartement dans la ville et font vivre un enfer aux voisins. D’ailleurs, ces derniers n’en peuvent plus des bruits et du chaos produits par ces squatteurs.
Un retraité s’insurge du comportement des squatteurs
L’histoire a commencé en mi-décembre 2022. Les squatteurs ont alors occupé illégalement un appartement de l’immeuble HLM laissé vacant de Perrache, à Lyon. Malheureusement, ces derniers produisent un vrai désordre qui perturbe la vie des voisins. En fait, ils ont trouvé le moyen de s’incruster dans l’immeuble et ont remplacé la serrure de l’appartement.
Ainsi, un des locataires du 38 quai Perrache, à Lyon, a informé les autorités de la situation. Il s’agit d’un retraité qui habite également dans l’immeuble. En effet, ces occupants illégaux font vivre un enfer aux voisins chaque nuit de 21h à 6h du matin. Ce chaos les empêche de dormir la nuit selon ses dires.
Ce locataire a ainsi révélé : « Il y a de la musique, du bruit, des femmes, des engueulades et des allées et venues jusqu’à 6h du matin. Ils sont souvent alcoolisés, voire drogués. Je ne dors pas de la nuit. J’ai déjà appelé la police trois fois. »
Grand Lyon Habitat a déposé une plainte
Le locataire a poursuivi en disant : « Les autres locataires ont la trouille. Pour ne pas avoir de problème, certains continuent de leur ouvrir la porte d’en bas. Ça ne peut pas durer comme ça pendant un ou deux ans. Je vais faire une crise cardiaque avant. En plus, ils ont récupéré des meubles dans les poubelles, ça risque d’attirer des bestioles dans l’immeuble. »
Heureusement, le bailleur Grand Lyon Habitat a déposé plainte le 4 janvier dernier. L’office HLM a alors déclaré auprès d’Actu Lyon : « Un dossier est en cours de préparation pour engagement de la procédure d’expulsion à l’encontre des squatteurs. »
Toutefois, le plaignant a affirmé : « J’ai rencontré Grand Lyon habitat deux fois. Ils m’ont dit qu’ils avaient déjà eu ce problème ailleurs, mais qu’ils avaient eu du mal à les déloger. Ils m’ont dit de patienter, mais je n’en peux plus. » Impuissant, ce retraité compte maintenant sur la médiatisation de l’affaire pour « faire bouger les choses. »
