Depuis ses débuts en 1920, l’élection Miss France a suscité un vif engouement en France, couronnant 93 jeunes femmes. Chaque année, des millions de téléspectateurs attendent avec impatience de découvrir qui portera la couronne de Miss France. Cependant, une annonce choquante vient de bouleverser l’avenir du concours après la disparition de Geneviève de Fontenay. De quoi s’agit-il ? C’est ce que nous allons découvrir.
Miss France : Une tradition séculaire et un engouement continu
Depuis son lancement en 1920, l’élection de Miss France est devenue une tradition emblématique, couronnant de nombreuses jeunes femmes. D’ailleurs, la cérémonie télévisée attire chaque année des millions de téléspectateurs. Ces derniers sont impatients de connaître la nouvelle ambassadrice de la beauté française. Par ailleurs, les chiffres révèlent que la cérémonie Miss France 2023 a captivé en moyenne 7,1 millions de téléspectateurs.
Un changement inattendu après le décès de Geneviève de Fontenay
La communauté Miss France est en ébullition alors que l’édition 2024 approche à grands pas. D’ailleurs, des comités régionaux travaillent dur pour élire les candidates régionales. Or, une annonce surprenante a fait irruption, seulement quelques jours après le décès de Geneviève de Fontenay. Des comités départementaux majeurs ont décidé de rompre avec le comité Miss Rhône-Alpes et l’organisation Miss France. Parmi eux, on retrouve le Rhône, la Loire et la Drôme.
Des désaccords financiers et une nouvelle ère en vue
Le désaccord découle du coût jugé excessif de la sous-licence départementale, que les comités régionaux étaient auparavant responsables de couvrir. Patricia Recanati, déléguée régionale du comité Miss Rhône-Alpes, a expliqué que ces comités avaient lancé des avertissements. En réalité, ils avaient averti que l’édition actuelle serait la dernière où cette sous-licence serait couverte.
Les conséquences de cette décision suscitent des questions sur le devenir de Miss Rhône, Miss Drôme et Miss Loire. Cependant, Patricia Recanati a affirmé que les concours locaux se poursuivront jusqu’à l’élection de Miss Rhône-Alpes en septembre. Ce, avant une scission totale annoncée par BFMTV.
