Yves Lecoq évoque sans tabou ses soucis d’argent durant son passage chez Faustine Bollaert sur France 2, « C’est dur à vivre », confie-t-il !
Yves Lecoq évoque sans tabou ses soucis d’argent. Retour sur ses confidences CHOCS dans ça commence aujourd’hui spécial célébrités.
Yves Lecoq se livre sur ses gros problèmes d’argents
Yves Lecoq touchait pas moins de 20 000€ lorsqu’il faisait des imitations dans Les Guignols de l’info ou lorsqu’il présentait Les Grands du rire… Mais une fois mis à l’arrêt, ses galères financières ont alors commencé…
Alors qu’il n’anime plus aucune émission, l’humoriste est jusque-là contraint à sortir de l’argent afin d’entretenir ses châteaux. « Un château, ça ne vaut rien« , affirmait-il en mai 2020 sur le plateau de L’Instant de Luxe sur Non Stop People.
S’il espérait faire une bonne affaire, il s’est carrément trompé d’investissement. D’ailleurs, il continue à en payer les pots cassés. « Un château, c’est en moyenne 10.000 euros par mois de frais (…) Je n’ai pas d’assurance vie. J’ai rien. Tout mon argent est là-dedans« , confiait-il à Jordan de Luxe.
Comme rappelé dans les colonnes du magazine Closer, le célèbre humoriste était propriétaire de 6 châteaux en France, dont un à Villiers-le-Bâcle.
S’il est parvenu à faire vendre certains de ses châteaux, la somme obtenue n’a malheureusement pas été suffisante pour éponger ses dettes, engendrées par l’entretien de ses propriétés.
« Trois ans sans salaire c’est dur à vivre” !
Invité dans le format spécial du magazine de Faustine Bollaert intitulé “Humoristes : ils nous dévoilent leur face cachée”, Yves Lecoq a révélé sans filtre ses gros problèmes financiers. “Elle (ma vie) a été très dure depuis trois ans parce que trois ans sans salaire c’est dur à vivre.”, confessait-il sans ambages.
C’est d’ailleurs pour cette raison que l’imitateur a dû se séparer de certaines de ses propriétés. Malencontreusement, leur prix de vente « ne (lui) permettait pas de payer (s)es dettes.”
Celui qui a disparu des antennes depuis 2019 est toutefois parvenu à redresser la barre au niveau de ses finances. “J’arrive au bout de mes peines, qui sont des peines matérielles, donc ce n’est pas très grave”, assurait l’humoriste.
