Après l’acquisition de sa maison, cette retraitée espérait y vivre paisiblement ses jours de retraite. En réalité, la mamie pensait qu’elle a réalisé une excellente affaire. Malheureusement, pensant réaliser son rêve, elle a vécu un cauchemar. Dans cet article, nous allons découvrir comment une maison abordable est devenue un véritable enfer pour cette mamie.
L’acquisition de la maison
Cette retraitée et son mari ont acquis une maison à Coleshill, dans le Warwickshire (Angleterre). En vérité, ils souhaitaient concrétiser leur rêve : posséder leur propre chez-eux. La propriété avait un jardin et une vue magnifique, tout ce qui est de plus charmant. Toutefois, ils ont raté un détail essentiel.
En vérité, le couple a acheté la maison au prix attractif de 325 000 livres sterling. C’est-à-dire un peu plus de 375 000 euros. Ils étaient tous deux séduits, mais ils réaliseront bientôt que ce n’était pas sans raison. La maison se trouvait à seulement quelques mètres d’une route à double voie, la A446.
Un rêve transformé en cauchemar pour cette retraitée
Pour le couple de séniors, le rêve s’est transformé en cauchemar. En effet, la maison est rapidement devenue inhospitalière, notamment pour des personnes de leur âge. Pourtant, elle était censée être un havre de paix et de sécurité. Les vibrations constantes et les bruits incessants de la route A446 à double voie les ont plongés dans un sentiment d’insécurité grandissant. Les visites précédentes avaient eu lieu à des moments où la circulation était faible. Ce qui a masqué le bruit constant qu’ils allaient devoir supporter.
Qu’est-ce qu’elle a fait pour se réveiller de ce cauchemar ?
Ainsi, la retraitée a décidé de réagir. Effectivement, elle a demandé de l’aide auprès des autorités, argumentant que la pollution sonore est excessive. Pour obtenir davantage de soutien, elle se tourne vers les réseaux sociaux. Bien qu’elle soit critiquée par certains internautes qui estiment qu’elle aurait dû être plus prudente. Malgré cela, la mamie reste déterminée. Lors d’un entretien avec le magazine The Sun, elle affirme qu’elle n’aurait pas fait cette acquisition. Notamment si elle avait su à quel point la route était aussi fréquentée.
Par ailleurs, elle a eu recours à une application. Celle-ci démontre que le niveau sonore de la route était bien au-delà de la norme autorisée. En effet, à 120 décibels, les bruits dépassent de loin les 85 décibels tolérés. En attendant, le couple a acheté plusieurs dispositifs auditifs. Cela permet de réduire les nuisances sonores. Or, cette initiative ne suffit pas. Pour cause, la maison n’arrêtait pas de vibrer la nuit. En conséquence, cela leur fait passer des nuits blanches.