Un propriétaire de studio à Massy, en Essonne, se retrouve dans une situation désespérée. En vérité, il ne peut pas récupérer son bien. Pour raison, une vingtaine de chats appartenant à sa locataire a envahi le studio d’une superficie de 27 mètres carrés. Elle en a hébergé jusqu’à 60. Dans cet article, nous explorons les détails de cette situation cauchemardesque. Cela, depuis les travaux de rénovation du studio jusqu’à l’intervention des autorités et des associations de protection des animaux.
Un cauchemar découvert par hasard
En février dernier, un jeune couple a fait une découverte inattendue en observant par la fenêtre du studio. En effet, de nombreux chats y vivaient. Les forces de l’ordre et les pompiers ont reçu une alerte et ont confirmé la présence de plusieurs dizaines de chats. Choqué, le propriétaire est arrivé sur les lieux pour constater l’ampleur des dégâts.
Effectivement, son studio, qu’il avait entièrement rénové avec un investissement de 35 000 euros, était devenu un lieu insalubre. Les murs étaient souillés, les meubles endommagés et une odeur nauséabonde s’échappaient de l’espace.
Une locataire dépassée par la situation
Initialement, la locataire ne possédait que deux chats. Cependant, leur nombre a rapidement explosé à cause de leur reproduction incontrôlée. Face à cette situation chaotique, elle a finalement décidé de contacter l’association Truffes sans toit pour obtenir de l’aide.
Malheureusement, l’association n’a pu prendre en charge qu’une partie des chats, soit 42 au total. D’ailleurs, certains de ces animaux étaient dans un état de santé préoccupant en raison de la consanguinité extrême.
Un propriétaire impuissant et une législation en question
Malgré les tentatives du propriétaire pour résoudre ce problème, il reste incapable de récupérer son bien depuis mai 2023. Par ailleurs, la locataire a également cessé de payer son loyer. La mairie, contactée à ce sujet, affirme son impuissance, mais l’association Action protection animale est d’un avis différent.
Selon elle, « la législation en matière de protection animale est mal appliquée parce que les acteurs ne sont pas ou mal informés ». Finalement, la locataire a alerté la SPA pour tenter de résoudre cette situation hors du commun.
