Un laboratoire a développé un spray innovant qui offre une solution efficace pour se débarrasser des moustiques. En effet, ces insectes agaçants qui nous gâchent l’été, peuvent désormais être neutralisés grâce à ce produit révolutionnaire.
Le retour des moustiques en été
Avec l’arrivée de l’été, nous sommes impatients de profiter du soleil et de passer du temps à l’extérieur. Malheureusement, cette saison signifie également le retour des moustiques. D’ailleurs, ces insectes redoutés sont particulièrement virulents cette année, ce qui nécessite des mesures efficaces pour les éloigner.
Si protéger notre domicile des moustiques peut être relativement facile, se protéger contre eux à l’extérieur est plus difficile. En effet, ils ont toute liberté pour nous piquer et certains individus les attirent plus que d’autres. Les méthodes traditionnelles telles que les moustiquaires et les vêtements couvrants peuvent être utiles. Toutefois, sont-elles vraiment efficaces à long terme ?
Le spray tensioactif révolutionnaire
Un laboratoire japonais, la société KAO, a développé un spray qui pourrait changer la donne. Ce produit utilise un principe simple : il perturbe les propriétés naturelles de résistance à l’eau des moustiques. En réalité, les zones humides attirent les moustiques, mais ils craignent l’eau. Le spray est composé d’un mélange d’eau et de corps gras, ce qui immobilise les moustiques lorsqu’ils sont aspergés. De plus, il bloque leurs spiracles, ce qui les empêche de respirer, conduisant à leur mort.
Bien que ce spray révolutionnaire ne soit pas encore disponible sur le marché, il montre des résultats prometteurs. En plus de résoudre le problème des moustiques, il pourrait contribuer à l’élimination des maladies transmises par ces insectes. Le laboratoire est confiant quant à l’avenir de son produit. D’ailleurs, il affirme que l’application de solutions tensioactives peut être une mesure efficace pour lutter en toute sécurité contre les moustiques. Cela, tout en surmontant les problèmes de résistance aux insecticides.
