Faut-il renoncer à sa dignité pour devenir chroniqueur de TPMP ? Au fil des années depuis la création du programme en 2010, la réponse semble être un oui. À chaque émission, Cyril Hanouna ne cesse de tacler les autres de manière souvent violente. Toutefois, la plupart des membres de son équipe l’a dénoncé pour son humiliation, comme Géraldine Maillet.
TPMP : Benjamin Castaldi est fréquemment humilié dans l’émission
Benjamin Castaldi s’attire régulièrement les foudres des provocateurs du PAF. Les deux présentateurs, qui se détestaient il y a encore quelques années, sont devenus les meilleurs amis depuis que l’ancienne star de TF1 a rejoint TPMP.
Néanmoins, amitié et respect ne font pas toujours bon ménage, et le père de Simon Castaldi se fait constamment taquiné par Baba. Particulièrement, en ce qui concerne son physique. En conséquence, le chroniqueur a subi plusieurs opérations de chirurgie esthétique.
Cependant, ce n’est pas seulement le physique de Benjamin Castaldi qui dérange Cyril Hanouna. La star de Canal a également été critiquée pour son incapacité à s’exprimer convenablement durant les débats, voire pour ne pas prendre la parole du tout.
La réaction des internautes
La situation est peu réjouissante pour les internautes. Ainsi, sur Twitter, on a pu lire des commentaires comme : « Castaldi qui, malgré sa forte personnalité, accepte d’être constamment humilié par #Hanouna », « Passer d’un des meilleurs présentateurs de TF1 pendant des années à l’idiot qu’Hanouna humilie dès qu’il peut… c’est bien triste« , « Franchement, il humilie sans cesse Benjamin Castaldi ça fait rire personne ».
Comment Benjamin Castaldi a réagi ?
Si l’ancien animateur a toujours défendu son patron, Benjamin Castaldi a aimé un drôle de message sur Twitter. Précisément, un internaute a écrit : « Comment Benjamin Castaldi peut-il se laisser humilier comme ceci ? Aucune estime de soi ». Puis, un autre a répondu : « Car Castaldi est une sombre merde tout simplement ». Une réplique que Benjamin Castaldi a tout simplement mis un « j’aime ».
