Scènes de ménages fait partie des émissions phares de M6. Lors d’un entretien avec TV MAG, Frédéric Bouraly (José) est revenu sur le rythme de tournage du court-métrage.
« J’appelle ça une aumône »
On connait tous Gérard Hernandez (Raymond) et Marion Game (Huguette). Un couple très apprécié du public et qui est présent dans la série depuis le début. D’ailleurs, ils sont connus pour leur franc-parler. D’ailleurs, lors d’un entretien avec Laurent Ruquier dans les Grosses Têtes, l’acteur a avoué que son salaire ne lui satisfaisait pas. « Enfin une paye. J’appelle ça une aumône », a-t-il révélé.
Évidemment, Matthieu Delormeau en a profité pour mettre ce sujet sur le tapis de TPMP People. Pour commencer, l’animateur a demandé à ses chroniqueurs s’ils connaissaient combien le comédien touchait. Ainsi, Déborah Tordjman a confié que Gérard Hernandez gagnait près de « 8 000 euros par mois ». Un propos que Jean-Michel Maire partage avec la chroniqueuse. Avec un ton humoristique, Isabelle Morini-Bosc a indiqué que l’acteur de Scènes de ménages parlait d’« aumône ».
Scènes de ménages : Frédéric Bouraly évoque le rythme des tournages du feuilleton
Maintenant, au tour de Frédéric Bouraly de donner de la voix. Lundi dernier, Sud Radio a invité le comédien et Christelle Reboul pour la promotion de leur pièce de théâtre Ave, César ! Pour rappel, cette dernière est à l’affiche au Théâtre Rive Gauche à Paris. L’acteur a profité de l’occasion pour donner ses avis à propos de la réforme des retraites. Ainsi, l’animateur de Sud Radio a demandé aux conviés si l’on pouvait qualifier les politiciens comme des comédiens.
Dès lors, Frédéric Bouraly a tranché : « Si c’est ça les comédiens… C’est d’autant plus une posture. Ils font ça quand il y a les caméras. Ils attendent les caméras. Et c’est ça qu’ils font quand il y a les caméras… Je n’ai pas beaucoup d’estime pour ces gens-là. Quand je dis ces gens-là, ce ne sont pas des gens en particulier », a-t-il lâché.
Par la suite, l’acteur a parlé des rythmes de tournage de Scènes de ménages. En effet, Frédéric Bouraly a confié que la production ne fait appel à lui que « deux, trois jours par mois ». Il trouve d’ailleurs que ce rythme est insuffisant pour lui. Néanmoins, il déclare profiter de ces moments, en compagnie de sa partenaire. D’ailleurs, il est devenu proche de celle-ci. Frédéric Bouraly a terminé l’entretien en indiquant que les tournages étaient « intensifs, mais fascinants ».