Pierre Palmade continue de faire parler de lui depuis son accident du 10 février dernier. Il faut savoir que tout le monde connaît l’addiction à la drogue de l’humoriste par le passé. D’ailleurs, de nombreuses personnes ont tenté de l’aider, comme Jean-Jacques Goldman.
Pierre Palmade : son addiction a eu raison de lui
Le 10 février dernier, Pierre Palmade a provoqué un grave accident de la route. Malheureusement pour lui, le bilan de l’accident ne fait pas beau à voir. En effet, l’humoriste a pu s’en tirer sans d’importantes séquelles. Toutefois, il a fait des blessés graves et des victimes. Premièrement, une passagère de la voiture qu’il a percutée attendait un enfant. Hélas, cette femme de 27 ans y a perdu son bébé. Ajouté à cela, le père de famille et son garçon de 6 ans ont eu des blessures très graves.
Malheureusement, l’état de conscience de l’humoriste ne joue pas en sa faveur dans cette histoire. Il s’avère qu’il a pris de la cocaïne avant de prendre le volant. Ainsi, il n’en a pas fini avec son addiction, devenue populaire il y a déjà plusieurs années. Même si à de nombreuses reprises, il en a déjà fait l’aveu pour trouver du soutien par le passé.
Jean-Jacques Goldman a tenté de l’aider
Ainsi, il n’a pas réussi à se défaire de son addiction qui a commencé il y a 30 ans. Évidemment, il a reçu l’aide de nombreuses personnes durant ce temps. Toutefois, personne n’a réussi à le sortir définitivement de là. Parmi ces personnes, on peut citer Michèle Laroque et surtout Jean-Jacques Goldman.
Ce dernier lui a notamment montré sa compréhension par rapport à la situation. Il l’a décrit dans son livre paru en 2019 intitulé “Dites à mon père que je suis célèbre.“ Dans son récit, l’humoriste révèle qu’il a déjà participé aux Enfoirés sous les yeux de l’artiste en étant drogué. Le chanteur a alors tenté de le prendre sous son aile selon ses dires. Plus précisément, il a écrit : « Jean-Jacques m’a toujours pardonné, notamment lorsque j’arrivais dans un sale état pour le concert des Enfoirés. Il m’a pris sous son aile… ‘Tu es plus abîmé qu’emmerdant’, me disait-il. Il a fait partie de mes substituts paternels très importants. »