Nikos Aliagas a retrouvé les téléspectateurs lors de son retour en scène avec la 12ᵉ saison de The Voice. Cette nouvelle saison fait l’objet d’une observation scrupuleuse sur les participants, sur les nouveaux jurés, mais également sur le présentateur.
Nikos Aliagas : traqué sur les réseaux sociaux !
La plupart du temps, ses détracteurs lui adressent des insultes et même d’inqualifiables menaces. Étant un personnage public, l’animateur a toujours su garder son sang-froid face à ces attaques. Toutefois, on imagine bien que quelques fois, ces injures peuvent percer sa carapace malgré ses nombreuses années d’exposition médiatique.
D’ailleurs, il avait déjà parlé de cela en 2014 auprès de TV Mag. Il a alors déclaré : « Depuis la Star Ac’, on m’a souvent pastiché. La seule fois où j’ai réagi, c’est quand on avait basculé dans l’insulte raciale ». Heureusement, il a toujours pu compter sur le soutien de sa femme Tina ainsi que de sa sœur Maria. D’ailleurs, cette dernière a affirmé dans Le Parisien : « Je suis son bras droit et son pied droit sur tous les sujets ».
Aussi, il peut compter sur sa passion pour la photographie comme moyen d’échapper à son quotidien de présentateur vedette. Selon lui, cet art lui permet entre autres « d’en finir avec les douleurs de l’enfance ». A ce sujet, il a confié auprès de France Info : « On vient tous dans la lumière pour raconter des histoires, mais aussi pour réparer quelque chose dans son héritage, conscient ou inconscient ».
Une vraie passion pour la photographie
D’ailleurs, sa maîtrise de la photographie a rendu ses clichés très célèbres. On le connaît maintenant d’un peu partout pour sa marque de fabrique, les photos en noir et blanc. Par exemple, la cité de Doges fait actuellement l’exposition de ses clichés jusqu’à fin avril. Ainsi, Nikos Aliagas a avoué : « Quand j’arrive à Venise, je me dis : “Mais est-ce que ça va passer ? Les Vénitiens, en termes d’esthétisme, d’histoire de l’art, ils sont quand même très, très pointus. Mais je vais y aller tout de même.” En fait voilà, si je devais résumer ma vie, ce serait : “Je vais y aller malgré tout.” Donc pour moi, cette exposition à Venise est un chemin d’encouragement ».
D’ailleurs, il vit cette expérience et toute humilité et même avec une dose d’anxiété. En effet, on le reconnaît bien là avec son envie constante de se préserver face à toute chose. Il avoue même que cette autre facette de sa vie lui permet de s’évader face à son exposition médiatique de tous les jours. Il a alors fini l’interview en disant : « La photographie est l’expression d’un silence qui est nécessaire, confesse-t-il encore. C’est aussi une façon pour moi de me protéger et de revenir au point de départ ».
