La 76e édition du Festival de Cannes est en cours, attirant de nombreuses célébrités comme Harrison Ford sur le tapis rouge. Le comédien, venu présenter son film « Indiana Jones et le cadran de la destinée », a fait une apparition remarquée. Lors de son passage sur le plateau de l’émission « 20h30 le dimanche », l’acteur américain s’est exprimé de manière franche et passionnée. Ensuite, il a perdu patience face à une question sur le changement climatique.
Harrison Ford : « Bon Dieu, non ! »
Harrison Ford s’est emporté lorsque Laurent Delahousse l’a interrogé sur les enjeux du changement climatique. L’animateur lui a aussi posé des questions sur les politiques de protection de la biodiversité. L’acteur a saisi l’occasion pour adresser un message aux climatosceptiques. Rappelons qu’il porte une attention particulière à cette cause depuis de nombreuses années. Ainsi, il a remis en question les avertissements des scientifiques concernant l’avenir de la planète.
Le présentateur lui avait demandé : « Les politiques de la planète sauront-ils répondre assez vite à cette biodiversité qui est en train de s’éteindre ? ». Ainsi, le comédien a répondu : « Bon Dieu, non ! »
L’importance de la science
Face aux questions de Delahousse, Harrison Ford a insisté sur l’importance de la science dans la lutte contre le réchauffement climatique. En effet, il a souligné que la science repose sur des faits et non sur des opinions. Puis, l’acteur ajoute qu’il est essentiel de la respecter.
Par ailleurs, l’interprète d’Indiana Jones a rappelé les bienfaits de la science dans notre quotidien. Effectivement, il avait cité les médicaments, l’exploration spatiale et la richesse qu’elle nous a apportée.
L’appel à l’action
L’acteur a également exprimé son inquiétude. Notamment par rapport à l’avenir de la planète si des mesures concrètes ne sont pas prises rapidement. « Notre avenir dépend de la science et le fait de reconnaître la vérité sur ce qu’il se passe devant nos yeux. Si on ne se bouge pas le c*l et qu’on ne le fait pas maintenant, on va perdre cette planète ! », a-t-il lâché.