Lors d’un tête-à-tête avec Laurent Ruquier, Gérard Hernandez a parlé du salaire qu’il touchait dans Scènes de ménages. Évidemment, l’acteur n’a pas manqué d’ajouter une touche d’humour, comme on le connaît.
Marion Game, absente du prime diffusé en janvier
Qui ne connaîtrait pas Gérard Hernandez ! Le vieux monsieur qui se trouve être le compagnon d’Huguette (Marion Game) dans Scènes de ménages. Cette dernière et Raymond ont déjà été là depuis le lancement de la série sur M6 en 2009. Depuis 13 ans donc, les 2 comédiens ont amusé les téléspectateurs avec leurs aventures.
Il se murmure que Marion Game et Gérard Hernandez s’apprêtent à abandonner le feuilleton. Pourtant, pour le plaisir de leurs fans, les 2 acteurs s’affichent encore dans Scènes de ménages. Toutefois, lors du prime diffusé sur M6 en janvier, Marion Game n’était pas apparue sur nos petits écrans. En cause, la comédienne aurait « des petits soucis de mémoire », d’après un proche.
« J’appelle ça une aumône »
Mis à part les écrans, Gérard Hernandez a une grande passion. L’acteur adore les courses de chevaux. En effet, le nonagénaire avait une addiction aux paris sportifs sur les courses. D’ailleurs, Laurent Ruquier cela lorsqu’il interviewait le monsieur en janvier dernier.
L’homme a toujours été fasciné par les courses hippiques. Cette passion, Gérard Hernandez l’avait fait pousser depuis son enfance. D’ailleurs, il l’avait déjà confié au Parisien : « J’ai commencé à l’âge de 5 ou 6 ans. Avec mes parents, nous habitions près de Longchamp. Un jour, mon père m’a emmené aux courses. L’atmosphère m’a tout de suite plu. Ça sentait bon. »
Gérard Hernandez : Serait-il fauché ?
Sauf que ce dernier a avoué qu’il ne fait plus de paris sportifs sur les courses de chevaux. « J’ai plus les moyens », a-t-il confié. « J’ai plus de chevaux, je n’ai plus rien », poursuit-il. Face à ces propos, l’animateur a été surpris. Ainsi, il lui avait demandé : « Avec ce qu’on vous paye pour jouer Raymond tous les soirs ? ». Comme d’habitude, Gérard Hernandez trouve toujours un moyen pour ajouter une touche d’humour : « Enfin une paye, moi, j’appelle ça une aumône. »
