Sur Internet, les gens parlent beaucoup de l’histoire de Bryan Jonniaux. En effet, à tout juste 19 ans, il a décidé de racheter la boulangerie de son village. Ensuite, vous imaginez quoi ? Il a embauché ses parents.
« Le succès se mérite »
À 19 ans, Bryan a tracé sa propre route en réalisant son rêve d’enfance. Celui de devenir boulanger. D’après lui, c’était sa dévotion qui faisait sa force. Au-delà de tout, le jeune homme savait se comporter comme un bon leader. En effet, en plus de donner l’exemple à ses subordonnés, il travaille dur.
D’ailleurs, il adopte une routine journalière assez particulière qui le conduit vers le succès : se lever avant le coq. Effectivement, Bryan travaille de 2h du matin au 19h du soir, 6 jours sur 7. Ajoutées à son professionnalisme, ses délicieuses pâtisseries ont élargi son business jusqu’à 30 villages.
Effectivement, Bryan Jonniaux est un bon exemple pour les jeunes comme lui en laissant croire que « le succès se mérite ». De plus, il a été élu meilleur apprenti des Ardennes et le plus jeune entrepreneur et chef d’entreprise. Cependant, le chemin qui l’a mené vers la réussite était plein d’embuches.
Les routes pleines d’embuches de Bryan
Pour réaliser son projet, le jeune de 19 ans a connu des difficultés. En effet, tellement de gens n’ont pas cru en lui, même s’il avait reçu le titre de meilleur apprenti. En particulier les banques auprès desquelles il avait demandé des crédits. Vu son âge, on avait refusé sa demande.
Toutefois, cela n’avait pas affecté sa motivation. Au contraire, il avait multiplié sa détermination de réussir. Pour cela, il a fait appel à ses parents pour obtenir la faveur des banques. Heureusement pour lui, cela n’était pas vain, car il a pu avancer avec ses 5 employés.
Bryan Jonniaux : ses parents comptent parmi ses employés
Aujourd’hui, la Maison des Pains, située à Signy-Le-Petit, aux Ardennes, compte 5 employés. Parmi ces derniers, 2 vendeuses et un apprenti. Sans oublier ses parents qu’il a embauchés pour assurer la bonne marche de son affaire. D’ailleurs, ces derniers n’ont pas manqué d’exprimer leur fierté envers leur descendant.