Arnaque aux prélèvements bancaires en France : des victimes dénoncent des prélèvements non autorisés

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par Marc

Des victimes en France ont signalé des prélèvements européens sur leur compte bancaire. Les montants dérobés se situent entre 300 et 600 euros.

Plusieurs personnes en France ont rapporté des prélèvements européens (SEPA) sur leur compte en banque sans leur autorisation. Des victimes ont signalé ces prélèvements. Les voleurs ont emporté des sommes d’argent entre 300 et 600 euros. Allons voir les détails dans cet article !

Des prélèvements non autorisés signalés en France

Des victimes en France ont signalé des prélèvements européens sur leur compte en banque. Selon les signalements que le site Signal Arnaques a recueillis, les montants dérobés se situent entre 300 et 600 euros.

En réalité, ces prélèvements frauduleux sont une arnaque détournant les prélèvements européens (SEPA). Ainsi, on a cité la société ENS comme étant à l’origine de cette escroquerie.

Les moyens de paiement détournés

Le détournement de moyens de paiement est une infraction. En effet, selon la loi, la personne débitée doit avoir préalablement autorisé les prélèvements SEPA. En l’absence de cette autorisation, il s’agit d’une utilisation frauduleuse des moyens de paiement.

Dans ce cas, dès la réception de la demande, la banque doit rembourser les sommes volées. De plus, la victime a jusqu’à 13 mois pour contester l’opération. Néanmoins, on ramènera ce délai à 70 jours si le bénéficiaire se trouve en dehors de l’Union européenne.

Contacter sa banque en cas de doute

En cas de doute sur un prélèvement, contactez immédiatement votre banque. En vérité, les victimes doivent faire une opposition afin d’obtenir un remboursement. Même si on a autorisé le prélèvement, on peut le contester dans les huit semaines suivant son exécution.

Dans ce cas, la banque doit rembourser les sommes volées ou justifier son refus dans un délai de 10 jours ouvrables. Par ailleurs, il est important de se rappeler que si vous n’avez pas autorisé une transaction, la loi vous protège. Dès lors, c’est à la banque de prouver que vous avez donné votre accord.

À propos de l’auteur,
Marc

Je suis un journaliste qui recueille, analyse et diffuse des informations à un large public. J'essaie de couvrir des sujets variés, allant de l'actualité politique à l'actualité sportive, en passant par les sujets sociaux et culturels.