Beaucoup d’histoires se distinguent par leur scénario incroyable et leurs rebondissements inattendus.
C’est ce qui s’est passé avec Kamila Grabska. Cette femme d’origine irlandaise s’est vu refuser sa demande d’indemnisation pour des blessures présumées après des révélations surprenantes.
Une situation gênante : un accident suivi d’une compétition
En 2017, Kamila Grabska, âgée de 36 ans a été victime d’un accident de voiture. Elle a affirmé qu’elle a subi d’énormes blessures au dos et au cou qui ont rendu presque impossible toute activité physique.
Même si elle a déclaré la présence de ces douleurs intenses, Kamila Grabska n’a pas hésité à participer à un concours de lancer de sapin de Noël quelques mois plus tard. Cet événement imprévu a remis tout de suite en question la gravité de ses blessures.
Après sa participation au concours, on a découvert une photo de Kamila Grabska qui montre qu’elle est tout à fait valide en faisant cette épreuve physique. Mais pas que.
Une autre vidéo plus récente montre qu’elle promène son chien pendant une heure et plus et il semble qu’elle ne prouve aucune douleur.
Face à toutes ces preuves, un juge irlandais n’a pas accepté sa demande de compensation de £650,000. Il a confirmé qu’il existe des contradictions tangibles entre ses allégations et ses comportements observés après l’accident.
Voici le verdict ultime du tribunal
Le juge annonce que les gestes de Kamila Grabska après l’accident n’étaient pas convenables avec ses affirmations de douleur sévère et incapacitante.
En effet, il faut montrer des preuves concrètes pour avoir des compensations dans des affaires pour blessures.
C’est une affaire qui se présente comme un avertissement aux personnes qui envisagent de faire de fausses revendications d’indemnisation.
Les compagnies d’assurance et les tribunaux examinent attentivement chaque détail avant de rendre le verdict d’un jugement.
Comment éviter ce type de situation
L’histoire de Kamila Grabska montre qu’il faut être honnête dans les demandes d’indemnisation. Les tribunaux et les compagnies d’assurance surveillent de près les preuves qui peuvent contredire les arguments des plaignants.
Pour ce faire, il faut fournir des documents médicaux légaux et à jour. Vous devez aussi éviter de pratiquer des exercices physiques qui peuvent compromettre vos déclarations.
N’oubliez pas aussi de faire une consultation régulière pour une réévaluation de la gravité des blessures.